4 habitudes qui vous aideront à prévenir la démence et la maladie d’Alzheimer

La plupart d'entre nous connaissent probablement ou ont connu au moins une personne atteinte de démence ou de maladie d'Alzheimer.

Il est donc extrêmement important que chacun ait une meilleure compréhension de cette maladie et que les gens connaissent les mesures à prendre pour éviter que cela ne se produise chez eux ou leurs proches. Voici 4 habitudes qui vous aideront à prévenir la démence et la maladie d’Alzheimer :

1 – Une absorption de vitamine D adéquate :

On estime que de 40% à 75% des adultes sont déficients en vitamine D. C'est un problème parce que les aînés qui sont légèrement déficients ont un risque de démence de 53% plus élevé, et ce nombre dépasse les 125% chez ceux qui souffrent d’une déficience sévère.

 2 – Les acides gras Oméga-3 :

Les acides gras oméga-3 sont une graisse alimentaire essentielle qui est importante pour le développement cognitif précoce chez les enfants et pour l'apprentissage et la mémoire chez les adultes. On les trouve dans nos membranes cellulaires et on pense que les niveaux supérieurs de cette graisse dans nos cellules du cerveau améliorent leur communication avec d'autres cellules du corps.

Bien qu'ils n'aient pas montré leur efficacité dans les derniers stades de la démence, des études ont montré que la supplémentation au début de la démence peut améliorer les symptômes et que les régimes alimentaires riches en oméga-3 ou qui ont été adoptés dès le jeune âge peuvent réduire vos chances de développer la maladie.

 3 – Les légumes verts :

Des chercheurs de l'université de Rush ont constaté que les adultes qui mangeaient une portion de légumes verts chaque jour avaient la même fonction cognitive que des personnes 11 ans plus jeunes qu’eux, par rapport à ceux qui ne mangeaient pas les légumes. 

 4 – Un bon sommeil :

Un manque spécifique dans le sommeil profond non-REM (mouvement rapide des yeux) peut soumettre votre cerveau à un risque encore plus grand de perte de mémoire. Cela signifie que la quantité de sommeil simple ne suffit pas à combattre la démence et qu’une bonne qualité est requise.